Savoir-faire : comment concilier couleurs et écoresponsabilité dans le textile Le - Automne-Hiver 23-24 - Tissus - Couleurs
Les couleurs d’un vêtement sont le résultat de nombreuses étapes intermédiaires particulièrement énergivores. Procédés aqueux, traitements et cycles de teinture nécessitent souvent l’usage de la chimie, ainsi que de grandes quantités d’eau chauffée.
Ces pratiques représentent 36% des émissions de CO2 sur l’ensemble du cycle de vie d’un produit. Un impact considérable auquel s’additionnent de potentiels risques sanitaires.
Conscients de cet enjeu majeur, les exposants de Première Vision proposent de nouvelles solutions pour réduire l’impact. Issues de la nature ou de la chimie, elles se concentrent sur la réduction de la consommation d’eau et des résidus de produits chimiques.
Découvrez les principales pistes permettant de réduire l’impact négatif des teintures dans le cycle de vie d’un vêtement.
Les solutions naturelles
Les options naturelles sont, par définition, celles qui ne sont pas issues de la chimie. La plus connue est sans doute la couleur naturelle, végétale ou minérale. Mais nous verrons que d’autres possibilités se développent, ouvrant avec créativité le champ des possibles.
Les innovations technologiques
Les consommateurs, de plus en plus éduqués sur la question de l’éco-responsabilité, prêtent particulièrement attention aux méthodes de teinture. Dans ce contexte, l’usage de teintures issues de la pétrochimie est remis en cause. En effet, les prétraitements et colorants, lorsqu’ils sont mal exploités et épurés, constituent une réelle pollution des sols et des eaux, ainsi qu’un important risque sanitaire.
Retrouvez également ici notre savoir-faire consacré à la teinture écoresponsable dédiée aux cuirs.